Lá idirnáisiúnta i dtacaíocht leis an bhfile Ashraf Fayadh, Palaistíneach ina chónaí san Araib Sádaí.
Tá an stáit sin ar tí Fayadh a dhaoradh chun báis toisc gur "séantach" é, dar leo.
Ar an lá seo, ar fud an domhain tá daoine ag rá a chuid filíochta chun a thaispeáint go bhfuil a ghuth fós láidir ann agus nach féidir le na húdarais i stáit smachtúil mar an Araib Sádaí an fhírinne a mhúchadh.
Les moustaches de Frida Kalo
Je vais ignorer l’odeur de la boue le reproche à la pluie et le chagrin dans ma poitrine depuis longtemps
Et chercherai une consolation qui convienne à ma situation qui ne permet pas d’expliquer tes lèvres comme je le désirerais …
Ou de secouer les gouttes de rosée sur tes mamelons qui tendent vers la rougeur
Ou d’apaiser la folie qui me gagne chaque fois que je me rends compte que tu n’es pas à mes côtés à cet instant
Tu ne seras pas ainsi…quand je serai contraint de justifier mon silence auquel me condamne la nuit
Fais semblant que la terre est silencieuse comme nous l’apercevons de loin et que tout ce qui s’est passé entre nous n’a pas été plus qu’une lourde plaisanterie qui n’aurait pas dû atteindre ce stade !
…
Que penses-tu de mes journées que j’ai pris l’habitude de passer sans toi !
De mes mots qui s’évaporaient rapidement
De ma grande douleur
Des nœuds qui se sont installés dans ma poitrine comme des algues séchées.
J’ai oublié de t’informer…que je me suis habitué à ton absence du point de vue pratique …que les espérances ont égaré leur chemin vers tes désirs
Que je pourchasse toujours la lumière, non par désir de vision mais parce que l’obscurité fait toujours peur même si on s’y habitue !
….
Je vais être obligé de ruser avec ma mémoire
Et prétendre que je dors bien
Déchirer tout ce qui reste de questions
Les questions qui cherchent à se justifier pour obtenir des réponses convaincantes
Après que j’ai fait tomber toutes les numérotations habituelles
Par pure raison personnelle
…
Laisse le miroir t’expliquer combien tu es belle
Enlève mes paroles qui s’entassent comme la poussière
Respire profondément, souviens-toi combien je t’ai aimée, comment cela s’est transformé en un simple toucher électrique
Qui a failli causer un grand incendie…dans un entrepôt vide !
Playlist:
Life on Mars
Seu Jorge
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