Petite rue étroite.Synon. ruelle.De là nous dominions la rue des Vignes, venelle déserte qui menait aux jardins potagers éparpillés dans le vallon du Saint-Jean (Colette, Sido, 1929, p. 157).
− Loc., vieilli.Enfiler la venelle.S'enfuir.J'appelai le guet d'une si forte voix que les voleurs épouvantés enfilèrent la venelle (A. France, Contes Tournebroche, 1908, p. 177).
Prononc. et Orth.: [vənεl]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. Ca 1165 venele (Benoît de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 26071); 1612 enfiller la venelle « s'enfuir rapidement » (P. Troterel, Les Corrivaux ds Anc. théâtre fr., t. 8, p. 257). Dér. de veine*; suff. -elle*. Fréq. abs. littér.: 48.
I am definitively separated from my good pants (Sunday best? Church pants?).
The breakup began more than two weeks ago when I brought them to the dry cleaners in Saumur. I needed a good clean pair of dress pants for the soirée at the Montsorelli. I dropped them off on a Wednesday hoping to pick them up for the Friday evening event. No chance!
Could they be ready on Saturday so I could wear them to lunch at Michel and Guillem's. Dream on!
I finally picked them up to take on our big trip to La Rochelle where I left them (with my favorite shirt) in the closet of the Apart'City hotel.
Perhaps, Vince Vaughn is wearing them now!
We are on the road early today.
Our trip to La Rochelle has been shortened by a day so we can go back to Montsoreau for Rich's medications that he left in the fridge. He had a phone consultation with Dr. Gavin who thought he could survive for a few days until he reaches a pharmacy in Dublin. But Dr. Gavin's tone of voice always indicates the opposite of what he says, so Rich is not going to risk dying on this particular trip.
We took the bus from the train station in La Rochelle to the island of Île de Ré. We can ride the bus around the island all day and return in the evening for a flat €5 per person. Par contre, the bridge toll is a hefty €16 per vehicle and we wouldn't have had the drama of the duelling bus drivers to entertain us.
Cover art for the story collection by Robert Coover
General Humbert sailed out of La Rochelle in 1798 (The Year of the French) with an expeditionary force in support of the United Irishmen Revolution.
His forces engaged a British regiment after he landed in County Mayo. This encounter is forever known as the Races of Castlebar because the British ran away so fast. Nevertheless, this was his only victory - which is why we speak English as a second language rather than French.
The General Humbert's Bar was not as welcoming as the Irish in Killala. They asked me to remove my hat - une règle de la maison. The last time I was asked to remove my hat was in Saint Paul's Cathedral in London. The sextant very officiously told me that it was god's rule that men must be bareheaded in church (God never actually spoke to me, but clearly the sextant had a better WiFi connection!). I told him that if I was paying £8 to visit a museum I would wear whatever was most comfortable on my head.
I had a similar response for the bartender at the General Humberts.
Playlist:
Fare Thee Well My Own True Love Mary Black and General Humbert
Étymol. et Hist. 1747 (cité ds Mémoires de la Société de l'Hist. de Paris et de l'Île de France, 1907, p. 188). Orig. inc., peut-être à rattacher à la famille de fouler* (FEW t. 3, p. 844 et 849, note 3), par l'intermédiaire du part. prov. foulat « foulé » après changement de suff., le part. passé fr. subst. foulé « drap léger d'été » étant attesté au xixes. 1877 LittréSuppl. (cf.Sain. Lang. par., pp. 317-318, repris par EWFS2).
French men wear scarves the way the English wear ties.
But gay French men wear their scarves in a particular way. When a couple are wearing scarves, there will always be one who wraps it around his neck (the fem?), and one who throws it jauntily over one shoulder (the butch?).
Straight French men don't seem to be aware of the code du foulard. But then again, the French invented the word "effete" to apply to everyone.
Étymol. et Hist. A. 1. 1552 subst. masc. « calviniste » (Pasquier, Recherches de la France, p. 1069 ds W. Richard, 1959, p. 49); 2. Av. 1570 adj. (Castelnau, Mémoires, éd. de 1659, t. 1, p. 155); 1572 à la huguenotte « à la manière des huguenots » (Danjou et Cimber, Archives curieuses, VII, 255). B. 1660 subst. fém. « petite marmite de terre sans pied » (OudinFr.-Esp.). Empr. au genevoiseyguenot « confédéré genevois adversaire du duc de Savoie » (1519 aguynos ds W. Richard, loc. cit.; 1520 eyguenot, ibid.), lui-même empr. au suisse alémanique Eidgnosse(n) « confédéré(s) »; cf. m. h. all. eitgenôz « id. » (d'où en 1483 le fr. esguenotz « espèce de soldats » ds FEW t. 15, 2, p. 84a); dès 1315 comme terme officiel pour désigner les membres de la Confédération suisse (cf. Duden Étymol., s.v. Eid). Désignant d'abord les partisans du parti politique qui luttait contre les tentatives d'annexion du duc de Savoie, eyguenot devint par la suite (et ce jusqu'au xviiies.), un terme de mépris sous lequel les catholiques désignaient les Réformés (la majorité des confédérés étant aussi favorable à la Réforme) et se répandit alors dans les parlers de la Suisse romande ainsi que dans les régions françaises limitrophes. La forme huguenot qui apparaît dès la 2emoitié du xvies., semble être née en Touraine, où, comme en témoignent les historiens contemp., la population entendant parler des eyguenots sans en connaître le sens, rattacha ce mot à un certain roi Hugon qui aurait joui d'une grande popularité auprès des Réformés de Tours (cf. W. Richard, 1959, pp. 46-48). Le sens C vient de ce que les Huguenots se servaient de cette marmite pour faire cuire leurs viandes, en cachette, les jours de jeûne (cf. Trév. 1704). Cf. FEW t. 15, 2, pp. 85b-86a.
Voûte en quart de sphère analogue au cul* (fond) de certains fours.Cf. Ch. Blanc, Gramm. arts dessin, 1876, p. 245 :
Le regard, maintenant, ainsi que dans les premières églises, n'est plus brutalement au delà du sacrificateur arrêté et comme répercuté par un cul-de-four; la prison s'est ouverte et la verrière accueille les yeux qui, laissant en chemin l'esprit s'amuser aux formes précises et au ramage des couleurs, ne trouvent repos qu'au sein de la lumière. Claudel, Art poétique,1907, p. 211.
− [Pour désigner une forme d'archit.]En cul-de-four.Niche en cul-de-four.Une pièce minuscule, voûtée en cul-de-four(Huysmans, Oblat,t. 2, 1903, p. 30).
Prononc. et Orth. : [kyḓfu:ʀ]. Ds Ac. 1835 et 1878, s.v. cul (cf. ce mot pour le plur.). La docum. donne des ex. sans trait d'union (cf.Stendhal, Prom. ds Rome, t. 1, 1829, p. 169 et Hugo, Homme qui rit, t. 2, 1869, p. 140). Étymol. et Hist.Av. 1403 au cul du four p. métaph. « à l'écart » (E. Deschamps, Œuvres, éd. G. Raynaud, t. VIII, p. 77); 1555 cul de fourarchit. (Mém. Soc. Hist. Paris, 1883). Composé de cul* « partie la plus profonde d'un objet », de* et four*.